La mégalomanie de Bill Gates semble ne pas connaître de limites, soigneusement entretenue et nourrie par les grands médias dont il commence à être couru que la plupart ne sont que de vulgaires feuilles de propagande à la botte d’une poignée de milliardaires mondialistes.

Le quotidien Les Échos, filiale du groupe de luxe LVMH appartenant au milliardaire Bernard Arnault, aujourd’hui troisième fortune mondiale, tient à l’évidence le haut d’un podium virtuel de la servilité. Son appendice hebdomadaire, Les Échos Week-End, en devient presque caricatural de servilité au service des intérêts mondialistes, du cosmopolitisme, de la culture de mort, de l’anti-trumpisme-Brexit-protectionnisme et on en passe… Dans sa dernière livraison, le luxueux magazine titrait « Bill Gates en sauveur de la planète ». Sans même un point d’interrogation modérateur. En trois pages, la plumitive de service y expose l’engagement de Bill Gates dans la lutte contre le réchauffement climatique. Avec obséquiosité, elle qualifie ce proche du gros dégueulasse Jeffrey Epstein, l’agent du Mossad suicidé d’office dans sa cellule afin d’éviter qu’il ne s’épanche un peu trop sur ses complices de partouzes, de « premier philanthrope du monde ». Pas moins.
Après la santé, le climat
Cet informaticien milliardaire, mêle-tout dont nous savons l’implication dans la suspecte campagne de vaccination contre le très suspect virus Covid 19, se pique maintenant d’influer sur le climat et notamment d’agir contre le réchauffement climatique. Comment ? Déjà en contribuant activement à la campagne de promotion de son livre « Climat : comment éviter un désastre » mais aussi en plaidant en faveur d’investissements massifs dans la construction de centrales nucléaires.
Mais plus original et moins connu, Bill Gates avait déposé, dès 2005, le brevet d’une technique destinée à limiter le réchauffement climatique en diffusant dans l’atmosphère un composé destiné à réfléchir le rayonnement solaire. L’aveu d’un tel projet est proprement hallucinant : il ne fait que confirmer que, sur ce point aussi, les courageux lanceurs d’alerte dénonçant depuis des années, sous les moqueries et quolibets, la théorie des « chemtrails », avaient vu juste. Il suffit de lire ou relire le livre de Claire Séverac « La guerre secrète contre les peuples », paru en 2015, pour s’en assurer. Tout y est expliqué par le détail, références à l’appui…